BASES POPULAIRES DU GAULLISME

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Créé à l’occasion du soixantième anniversaire du Discours de Bayeux prononcé par le général de Gaulle le 16 juin 1946, notre association se veut être un club de réflexion ayant vocation à rassembler les Français autour des valeurs fondamentales du Gaullisme.

Une soirée-débat est organisée le vendredi 16 mars 2007 autour du thème :

« Les bases populaires du Gaullisme ».

Le général de Gaulle est reconnu pour avoir démontré ses capacités à rassembler les Français et à œuvrer dans l’intérêt général de la Nation.

La modernité des valeurs du Gaullisme s’impose à une société qui s’est peu à peu enfermée dans le fatalisme et le doute . Pour lui donner la force de croire en la France et en son avenir, elle est dans l’attente d’un message fort de la part d’ hommes et de femmes susceptibles de les rassembler, de préserver la cohésion sociale.

Le Collectif du Discours de Bayeux s’est donné pour mission de faciliter cette prise de conscience collective.

Jean-Jack DENOUAL
Président délégué

Extraits du Discours de Bayeux : Charles de Gaulle 16 juin 1946

… Le salut vint, d'abord, d'une élite (groupe)… qui, bien au-dessus de toute préoccupation de parti ou de classe, se dévoua au combat pour la grandeur et la rénovation de la France. Elle n'y eût point, cependant, réussi sans l'assentiment de l'immense masse française. …

Les pouvoirs publics ne valent, en fait et en droit, que s'ils s'accordent avec l'intérêt supérieur du pays, s'ils reposent sur l'adhésion confiante des citoyens.

… la rivalité des partis revêt chez nous un caractère fondamental, qui met toujours tout en question et sous lequel s'estompent trop souvent les intérêts supérieurs du pays.

… le trouble dans l'Etat a pour conséquence inéluctable la désaffection des citoyens

… il est nécessaire que nos institutions démocratiques nouvelles compensent, par elles-mêmes, les effets de notre perpétuelle effervescence politique.

Certes, il est de l'essence même de la démocratie que les opinions s'expriment et qu'elles s'efforcent, par le suffrage, d'orienter suivant leurs conceptions l'action publique et la législation. Mais aussi tous les principes et toutes les expériences exigent que les pouvoirs publics : législatif, exécutif, judiciaire, soient nettement séparés et fortement équilibrés et, qu'au dessus des contingences politiques, soit établi un arbitrage national qui fasse valoir la continuité au milieu des combinaisons.

Soyons assez lucides et assez forts pour nous donner et pour observer des règles de vie nationale qui tendent à nous rassembler quand, sans relâche, nous sommes portés à nous diviser contre nous-mêmes